Un peu plus loin, c'est son frère, plus téméraire, qui me dévissage.
Un bruit dans les arbres m'interpelle, je reconnais le chant du Pic cendré. Son chant flûté et traînant est composé d'une série de cris descendants, un peu nostalgiques. Je scrute attentivement les alentours lorsque j’aperçois cette femelle qui se pose un bref instant. C'est une chance de l'observer car il est peu fréquent. Seuls 300 à 700 couples vivent en Suisse.
Retour au début