Monsieur revient de migration et il boulotte tout ce qu'il trouve car les prochaines semaines seront bien remplies : défendre son territoire, trouver une compagne, construire un nid, faire des petits et surtout les nourrir.
Deuxième rendez-vous : un Rougequeue noir que je découvre sur le chemin du retour, dans un champ fraîchement labouré. Son chant à lui est aisément reconnaissable car il commence par un grincement retenu qui rappelle le bruit d'un papier que l'on froisse. Lui aussi revient de migration ; cette fois, ça ne fait aucun doute, le printemps est bien là.
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